CE N’EST PAS UNE CRISE, C’EST UNE MISE À SAC ORGANISÉE PAR LA HAUTE FINANCE....

Publié le par Sam Menerve

Avec la fin des accords de Bretton Woods, qui supprime la parité des monnaies avec l’OR, on a vu apparaître une richesse virtuelle, une richesse infinie, un puits sans fond. Il faut bien comprendre que c’est à ce moment-là que notre monde a basculé.
La FED, la Banque Nationale américaine, UNE BANQUE PRIVÉE, oui la FED est une banque privée, qui imprime véritablement ce que l’on pourrait appeler de la fausse monnaie. Une fausse monnaie utilisée par le FMI et l’oligarchie financière mondiale pour faire mains basses sur toutes les richesses, sur toutes les matières premières. La BCE fait de même avec l’Euro et le MES à la différence que la BCE est une banque aux mains d’une élite sélectionnée par l’oligarchie qui nous gouverne.
Le MES (Mécanisme de stabilité monétaire créé en 2012) est un fonds approvisionner par les états membres de la zone euro, par nos impôts, par notre crédit. La BCE et le MES sont dirigés par un organisme basé au Luxembourg une SA, une société anonyme et sous influence allemande, sous tutelle des fonds de pension allemands.
Le FMI est approvisionné par les états membres CAD tous les états qui ont eu recours à leur crédit pour acheter sur le marché des devises, les dollars nécessaires pour acheter des denrées alimentaires, du pétrole ou toute autre chose sur le marché international des changes, la bourse. Les États-Unis possèdent un droit de véto sur les décisions prises par son comité directeur. Les experts du FMI sont des criminels que l’on devrait pouvoir juger un jour pour crime contre l’humanité.
Aujourd’hui en plus de la fausse monnaie émise par la FED ou la BCE on trouve la richesse réelle qui est créée par le travail, on trouve aussi une richesse virtuelle créée par le crédit, basée sur votre capacité à rembourser vos dettes. Les deux existent et se mélangent, la première rembourse la deuxième. L'argent créé par le crédit se détruit lors de votre remboursement, il ne reste alors que les intérêts, la richesse réelle créée par le travail.
Les banques nous vendent du crédit, une richesse virtuelle, une richesse qu'elles créent par une écriture comptable. Elles se remboursent sur votre travail et vous font payer des intérêts en bonne richesse, des intérêts dus sur du vent. C’est votre travail, votre sueur et parfois celui de vos enfants.
Les banques jouent un jeu dangereux avec les produits financiers nouveaux, il leur en faut toujours plus. Des produits qu’ils ont récemment inventés pour se garantir du risque de non-remboursement ou plus simplement dans le but de faire plus de bénéfice à verser comme dividendes à leurs chers actionnaires. Elles ont inventé les produits dérivés. Ces fameux produits dérivés sont des produits financiers qu’elles se vendent, qu’elles se revendent entre elles, parfois plusieurs fois pour atteindre des montants astronomiques. Une estimation donnée par la BRI (Banque des règlements internationaux) nous dit que la somme globale du total des produits dérivés émis représenterait 630.000 milliards de dollars, soit 10 fois le PIB mondial et se retrouveraient dans la majorité des bilans des entreprises. Ces produits représentent une véritable bombe, une mine prête à exploser, le danger réel d’un effondrement complet du système monétaire mondial. Le risque qu’une banque de moyenne importance fasse faillite et entraîne un jeu de domino incontrôlable, le danger qui ferait basculer tout le système monétaire dans un chaos jamais vu à ce jour. Une crise bien plus grave que celle de 2.008. Le danger « systémique » est bien réel et est une véritable épée de Damoclès au-dessus de nos têtes.
 
Alors pour finir et tordre le coup à la croyance que les dettes souveraines ne sont pas remboursables, qu’elles ne devront jamais être remboursées. Demandez aux Grecs, aux Espagnoles, aux Portugais, aux Irlandais, à tous les pays d’Afrique, ou d’Amérique latine ce qu’ils en pensent ? Croire que les créanciers, les banquiers qui se cachent derrière les dettes souveraines ne réclament pas leurs intérêts est mal comprendre le monde dans lequel nous vivons, peu importe, le montant du crédit que l’on vous alloue, c’est du vent, mais vous devez verser vos intérêts en belle et bonne richesse, votre travail. Ils n’hésiteront pas à utiliser la force, les chantages, les crimes voir les guerres pour arriver à vous faire payer. Les banques privées qui se cachent derrière l’oligarchie mondiale sont en fait l’oligarchie mondiale, ce sont elles les maîtresses du monde , elles ont pris le contrôle des démocraties.
 
Ce qui compte et on le voit bien avec les agences de notation, représentant la confiance du marché, c’est que c’est elles qui définissent votre capacité à rembourser et les taux d’intérêt que vous allez devoir leurs payer. Ce sont des outils utilisés par Goldman Sachs pour mettre à terre, à genou une économie. Un pays comme la Grèce en a été victimes, un chantage où les banques, le marché, font du chantage aux états, aux nations entières. Le marché et ses représentants, les banques privées ont fait main basse sur nos démocraties.
Une oligarchie mafieuse a pris le pouvoir avec la complicité des partis politiques aux différents gouvernements depuis plus de 40 ans. La création de l'Union européenne qui n’est qu’un plan de dupes, avec le groupe Bilderberg qui tire les ficelles dans l'ombre du pouvoir, dans l'ombre de nos démocraties. Les dupes, c'est nous bien sûr, mais aussi les libertés individuelles et la solidarité interpersonnelle, c'est encore la démocratie, nos épargnes, nos vies et l'avenir de nos enfants. Une Europe de la collusion et de la corruption s’est installée et nous impose leurs plans pour la mise à sac systématique des pays qui la composent.

https://www.facebook.com/notes/jacques-jordens/ce-nest-pas-une-crise-cest-une-mise-%C3%A0-sac-organis%C3%A9e-par-la-haute-finance/1208366285896145

 

 

Publié dans Actualités, Finances

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